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Je suis dans un état divers où le temps passe de chaleur en recherche de... De ventre de café fumant à celui d'un métro en attendant le tien, tiens.. non, rien... Repli possible à l'intérieur de mon rêve de moi, j'ai le remède, je me soigne, ma mie amie entière terre-mère, apatride, partagée, plurielle... Je vois la lumière, le soleil, l'écriture dure sans blesser ni perdre et va au simple être et non au vouloir référencié qui voudrait que je sois alors que je suis!...

Chevelure figure, cheval libéré des lisses, des coiffes ou bonnets frileux en cotonnades molles bien blanches sur les mains grillées aux soleils de pays chauds devant!... Tifs gélifiés apprêtés aux marchands cosmétiques de tous poils figés par ce temps froid à l'intérieur eux aussi de leurs ventres-boutiques et modant le profit sur des chefs en recherche d'identité électives ou consommables différences... Coupes propres ou douilles agressives de graisses animales retraitées avant l'heure pour cause de rentabilité déficitaire difficilement discernable, front monétaire international en fin de circuit - coupez pas - laissez les vivres - mercis - Thème ou sujet surchoix, dé-lire again, lire à l'envers à nouveau...

Chaleur de ventre, douceur de coeur, le reste occupe le monde et fabrique le fébrile, l'agitation ou l'occupation intelligente, dames et messieurs! La raison indispensable pensée justifiante des cartes du système qu'elle engendre mon fils!... De l'oppression consternante à celle consentie à 51% des suffrages exprimés extirpés d'urnes vespasiennes mixitées à la démocratie avancée... Passez devant!... Des mots, le pouvoir du peuple dépossédé des mots, barrières ou bricoles bien barricadées...

J'utilise comme je peux le possible usage d'iceux, câbles accaparés, accablés par l'us et l'âge d'eux fait, de sorte que je suis compositeur de mots, c'est toute une histoire en musiques, sans parler des paroles, parodies à partir de dits, notes, écrits vainement rassemblés par je ne sais quelle assemblée constituante composée investie elle même de la possession possédante, que ça fait déjà depuis depuis déjà que, alors tu parles! Qui peut mots dire ou me dire l'ordonnancement savant de facultés dédoctrinées es-lettres qu'il faut au vrai pour savoir à quoi sert d'écrire si ce n'est joli à voir défiler avec les oreilles ou à entendre siffler avec les yeux ...

Il me sied sifflant ce si, sans stridence il est potentiel, non conditionnel, possible si, acceptant le oui, niant le non, le nom?... Oui, comment tu t'appelles?... Moi appelle-moi, moi je m'appelle pas, ou pomme croquante croquée là à dessein, dessinée et pelée... Non, épelez 'peau-homme', des mots con posés pour emplir l'espace illusoire qui me sépare de toi, de ton ventre et du mien... Peau-femme, on s'embrouille avec les différences, différentes peaux... Peau-terne, peau-lisse, peau-fine, peau-cible au poteau!... C'est ma tension tendrement tendue, je t'aime, voilà.

C'est la seule chose à dire sans arrêt pour que le crime soit répudié à la face tragique du monde, petit ou grand, Albert, je t'aime, les autres avec, camus ou non, nez non nasillant de principes morphologiques présélectionnés respirant le formol et le formel. Je t'aime, informelle formule, je t'aime sans erreur, sans terreur, sans horreur, sans cette haine enfouie en folles foires dans les mots, ni maux ni bons, je t'aime tel, tel il peut être corde tendue, vocales vibrantes. Je t'aime, again, illogiques langues ou glottes, poly-sons, traînée de poudre des oreilles aux yeux, feux d'artifices et fards away, loin les masques artificiants aux paradis fictifs ou prophétiques!... Je toque à l'huis, au delà les langages et les différences encore, 'who men, women?' femmes-hommes, qui?...

Je t'aime même si j'ai peur, c'est moi qui tremble sur la feuille, j'ai les yeux qui regardent sous ma peau, la peur au ventre pourtant si doux... A ton reflet je me mire en toi sans loi, je te mire en moi sans point ni arme d'aucune sorte que je t'aime. Je t'aime, c'est la lettre L, le mot M, le non N. Alpha-bêtaïque hellénique, cessez ça! Gamma'rche vers l'en, hors usuel, à refaire sans lance ni massives massues scolaires dorée à la couche éducative, mère alimentaire et son fascisme élémentaire, cours premières années, tout est fait, du père dû à la mère veille perdue... De fait j'ai l'orthopédie graphique, le pied léger, le mot vers la tendresse va... Ecoute!...

   "Je t'aime"...     Je délie la courbe, taille en douce la phrase dénouée au sens essentiel, évident... J'aime!... Moi avant et fonde le mental sur l'émotionnel elle-il en dehors du duel, je t'aime en dehors du crime, décodé du code, découplé du couple... Je t'aime, étude pour orchestre, symphonie en Si majeur, sans bémol ni altération. Je t'aime, le Si est oui non conditionnel, le majeur, un passage de gamme à l'âge du oui non formel, à la réunion non conflictuelle... -- un demi ton ou quelques comas --

- Italiques - Balances romaines, je cherche l'équilibre musique-phonique, dépasser le mur du son possessif-exclusif... je retourne en moi, c'est là que tout se trouve, je suis seul, je n'ai que mon ventre à posséder, encore faut-il ou elle y par-venir... Je viens de là et y reviens pour aller plus loin...

Toujours cette marée et l'écume si blanche dans la nuit... J'ouvre mes yeux de l'intérieur, je me rappelle mieux... C'est long, parfois difficile... Quelles visions d'étoiles brillent encore au fond de moi, de ce flux de nous?... Rouge et noir interrompu, intermittences sidérantes, mi-temps mutante, ni match ni tournoi ni joute, juste une ligne voyage en zigs en zags, vagues voguantes ou lignes adroites...

-- Gare --     -- ARRÊT-BUFFET --     Un deux corps pour moi, nature, pour le billet un aller simple sans réduction, classe touriste, je suis pas pressé, pas pressé, direction? J'y suis! Je t'aime... je t'aime... je t'aime... je t'aime... je t'aime... je t'aime... je t'aime... je t'aime... je t'aime... je t'aime...

( faire suivre... )

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