je m'appelle Eugène je suis un errant je me promène sans gêne le long du courant
je rencontre des étoiles qui se cachent le jour derrière de grands voiles rien que pour faire l'amour
la nuit elles allument d'immenses feux de joie c'est pour que la lune ne prenne pas trop froid
parfois on se promène le long du courant elle m'appelle Gégène moi je trouve ça marrant
on regarde les étoiles qui nous disent bonjour y'a toujours un voile pour cacher l'amour...
c'est comme un sourire dans un coeur confiant qui donne sans rien dire l'amour en très grand!
l'enfer, le paradis c'est le même tout ça si t'embrasses la Vie elle t'ouvre les bras!
Hey! si ça te gêne! Embrasse tes gênes! Quand ça te gênera plus! T'embrasseras les nues!...
( Hymne syncopé et chaloupé...1988 )
feu et tendre jeu, à Mémé, dite la Mère Ramasse...